Ne cédons pas au fatalisme - Rencontre-Débat du Comité 21

Résumé de la présentation :

Il est nécessaire de rationaliser les sujets et li est absolument important de conjuguer développement économique, politique et juridique. D'autre part il y a une attente forte sur le projet de la transition énergétique.

Bien que la crise provoque un peu de relâchement, des indices positifs apparaissent : le contrôle des centrales à charbon aux U.S.A.(l'investissement pour la régulation climatique a été de 1 MDS de $ en 1980 et elle passe à 200 MDS de $ en 2013) et la CHINE qui bouge également.

Il y a aujourd'hui une remise en cause d'un modèle existant et il faut que la jeunesse se manifeste. Les acteurs économiques ont une important responsabilité et plus on attend pour agir plus les coûts augmentent.

Le rôle de l'Europe est absolument déterminant. Il y a un souci de coordination et de ce fait une organisation mondiale de l'Environnement devrait se créer rapidement.

Il faut libérer la créativité car la pénurie des ressources s'accentue. L'indice le plus important est le facteur énergétique ; il faut favoriser les circuits courts pour favoriser la compétitivité.

On pilote le 21eme siècle avec des outils du 20eme siècle : il faut donc donner aux actions un pouvoir politique à long terme.

Aujourd'hui les pays les plus réfractaires au changement sont la Russie, l'Inde et le Brésil ;

les plus attentifs sont l'Allemagne, la Grande-Bretagne, les pays scandinaves et le Pérou.

Publié le 03/07/2014 par Weinzaepfel Bruno